Mise en place de la stratégie [PV - Grégoire Anakiwi] {Mini-Event}

[Sortant de la quatrième réunion de la journée, consécutive, Grégoire Anakiwi n'avait plus grand energie à enchaîner avec la cinquiéme, et derniéres de la journée. En effet, à chaque réunion, l'idée même de ce lever de sa chaise sembler irréaliste tellement la pression était grande autour de lui. Enonomie, Socilogie, Humanisme, Espoir. . . Qu'est ce qui le retenait de simplement quitter les réunions comme bon lui semblait ? Après tout, il n'avait pas l'âge suffisant pour comprendre les plus grandes discussions des " aisé " comme les appelles sa fière mère. Le simple fait d'observer leurs accoutrement, leurs positions d'ignorant, la mentalité enfantine reposant sur les épaules de personnes fichtrement égoïste une fois bien installé sur leurs trône de bois.

Non. . . Une seule petite chose le retenait de crier, se battre et anéantir d'un coup d'Etat la moindre siginification d'une lois plus meurtrière encore que la grande guerre : Si Grégoire venait à renverser le gouvernement, les alliéres territoriales ce verraient dans l'obligation d'attaquer sa natalité, ainsi que son peuple. . . Et quoi de plus hypocrite, que de laisser le peuple (dont on a tant voulus la protection) mourir à la place de celui qui est au pouvoirs ? Evidement, cette idée répugna au plus au point l'Anakiwi, bien qu'il soit au courant de certain sacrifice à venir pour mettre au point le plan dans sa petite caboche.

C'est dans le derniers tournant d'un couloir, aussi long et lugubre qu'un banquet bien éclairé amplis de personnage, tous aussi sournois les un que les autres, qu'Anakiwi ce présenta, en retard pour ne pas changer, à la derniére réunion de sa journée, soupirant alors devant la porte. C'est en la poussant donc d'un grand coup, afin de faire un petit brère son monde ne le cachons pas, que Grégoire Anakiwi, petit derniers de la famille du même nom, vit pour la première fois de sa vie Stella Hunji, une grande femme, froide d'apparence et sans doute maîtresse de sa propre volonté -Bref, une politicienne comme les autres à ses yeux.]

- " Bien le bonjour, camarades, désolé du retard. Je sors tout juste de réunions avec le vieux... M.Klenneck, de la finance. "

[ Un enfant. Tout du moins c'est ainsi qu'il voulait ce faire passer, à défaut de vouloir à tout prix déjouer les plans de cette lois infâme. Un grand trône en bois était présent dans un coin de la table ronde, avec un certain blason représentant une puissante famille : Celle de la troisiéme famille du Danemark, les Anakiwi. Grégoire s'assit donc tranquillement dans ce trône, penchant sa tête vers la gauche tout en croisant sa jambe droite sur sa jambe gauche, croisant par la même occasion les bras. Son regard, sans doute ressemblant à tout ceux dans la salle, ce déposant dans celui de Stella. . . Pas un sourire, ni émotion ne sortit de ce nouveau livre à l'étagère, sans doute agacé par tant de temps perdu avec des personnages aussi peu ouvert d'esprit :]

- " Grégoire Anakiwi, derniers fils de la lignée, présent en retard. Rapport : Anonyme. Vous pouvez continuer camarade. "

{ Putain. . . Et en plus je vais devoir me coltiner une énième madame qui veux sans doute faire construire deux, trois aéroport en plus. . . Voir un port spatiale afin de toucher la prime du plus grand pays de collabo'. . . Eh eh. }

[ Pendant tout le long de ce beau est jolie début de discours, le soit disant mannequin fut assez stoïque, ayant malheureusement rencontré, traité et connu pire que les photos montrés lors de cet exposition. Grégoire baissa alors doucement la tête tout en laissant l'air dans ses poumons se vider petit à petit, agissant comme le petit enmerdeur du fond de la classe qui ne fait que rigoler la classe dans l'espoir d'attirer de l'attention, ou de rendre le cours beaucoup plus amusant et vivant. Sauf que là, nous parlons politique, et par conséquent, l'Anakiwi ne chercha pas vraiment à attirer l'attention, surtout maintenant car, en effet, trois dossier colossaux se déposa sur la table du jeune homme apporté par sa secrétaire personnelle sans doute. La jeune femme regarda dans les yeux un instant Grégoire, d'un air désolé et assez inquiet, tandis que le jeune homme lui fit un grand sourire, suivit d'un simple " Tout vas bien ce passer, vous pouvez prendre votre retraite maintenant. Vos enfants vous attendes. ".

La femme disposa alors, tandis que -toujours aussi discrètement, mais aussi en suivant l'exposé de la dît Stella - Grégoire ce mit à feuilleter doucement les quelques cinquantaine de pages par dossier, écrit dans une police assez fine, afin d'avoir le plus d'information que possible à chaque ligne, le plus de preuve envers la lois.

Soudain, un homme interrompit alors l'exposé de classe de la jeune femme, affirmant que le fond financier de l'Etat ne suffisait pas à nourrir la totalité du peuple Danois, insinuant, selon Grégoire, que seul les plus aisé ont le droit d'avoir de quoi survivre. Un petit sourire apparut sur les lèvres de l'homme, relevant alors lentement la tête, comme un prédateur ayant repéré sa proie. Interrompant son petit feuilletage, il ce mit à analyser la position, le frottement, le regard, les moindres fait et geste de l'homme en face de lui, discernant un soupçon de peur dans sa voix, bien qu'il ait eu le besoin de s'hydrater avant de boire, preuve qu'il lui a fallut un petit temps supplémentaire. . . Quelque secondes, pour mettre en ordre ce qu'il allait énoncer. Enfin ! Un homme se tenant face à une dame de fer et qui énonce donc, sans hésitation apparente " On a plus d'argent pour les pauvres " :]

{ Hm hm. . . C'est peut-être car nous n'avons plus d'argent, qu'il y a des pauvres mon chère. }

[Grégoire déposa ensuite son regard sur le corp de la jeune femme, Stella, essayant de discerner le moindre petit frisson, la moindre petite intimidation ou moment de faiblesse face à cette phrase. Cependant, il fit bien embêté ! Elle ne broncha pas, ce mettant même à rire, tout du moins, à essayer de ce retenir de rire.
Le sourire sur ses lèvres grandit alors encore un peu, voyant que Stella était finalement de son côté, lui redonnant de l'espoir et beaucoup d'avenir devant lui. Il n'imaginait même pas affronter une quatrième fois le congrès Danois une nouvelle fois seul. . . Cependant, la dernière idée de Madame Hunjli lui déplaît fortement, ce levant alors lentement pour descendre de son petit trône de bois en soupirant, allant vers la petit ouverture de la table afin de ce mettre bien au milieux de tous, jetant un regard. . . Le fameux regard de prédateur : Méchant, cherchant la moindre faille dans chaque phrases, mouvements ou même respiration.

Grégoire soupira de maniéré exagérer, avant de ce tourner vers l'homme qui avait dénié répondre à la jeune femme, pour ensuite tourner la tête vers Stella, soufflant doucement du nez en plongeant son regard dans le siens, s'avançant lentement vers elle, mains dans les poches avec une démarche des plus calmes et enfantine. Et ce n'est qu'une fois devant-elle, que Grégoire chercha alors au niveau de sa ceinture, penchant un peu son haut vers la gauche pour sortir plus facilement. . . Un petit revolver de défense, armé et sécurisé. La police, en voyant cela voulu intervenir évidement, mais Grégoire ne les entendis pas, et ne les calcula pas non plus. Voulant simplement déposer sur la table, bien devant la Femme en face de lui. Finalement, il prit une grande inspiration, chuchotant doucement dans un micro à sa veste, afin que tout le monde puisse entendre ce qu'il allait annoncer à Stella :]

- " 87% de la population à commis un délit majeur, mineur et d'équilibrium en notre Etat. Cela représente trois-quarts de nos fière citoyen Danois. Les gens que vous protégez, que vous éduquez, madame Hunjli. . . Font peut-être partis de ses 87%.

Vous avez devant-vous, une arme chargé avec 16 balles à son actif, dans la chambre. Je possède encore deux chargeurs à ma ceinture. Par ordre de votre idée. . . "

[S'interrompant alors un instant pour déposer deux mains sur le bureau, perdant son sourire en un instant :]

- " T'irais flinguer, toi, une gosse à qui la vie lui à arracher sa maman, trop pauvre pour la nourrir et ce nourrir elle -même. A qui la vie lui à arracher son père, qui s'est barré en un éclair après avoir mit en cloque une pauvre femme ?
La réponse est non, car sinon, ça serait toi, qui se ferait flinguer, par la suite. . . Puis t'as famille, par pur soupçon de collaboration. "

[Il se redressera donc doucement, tournant le dos à la jeune femme derrière lui afin de d'ouvrir doucement les bras et de tourner sur lui-même un instant, afin de faire le mariolle de la manière la plus professionnelle qui soit, prenant ensuite un ton plus puissant et sérieux :]

- " MES CHERES CAMARADES !

Vous supportez une loi, qui envois celles, et ceux, ayant commit le plus petit des crimes, ayant commit le plus grand des casses, ayant commit le plus horrible meurtre de la nation. . . Vers une planète ou les chances de survit son bas, titillant le zéros. Mais, chères camarades, n'oubliés donc pas que le risque est certes bas. . . Mais jamais, au grand jamais ZERO.

[Marque une pause pour reprendre son souffle :]

- " MES CHERES CAMARADES !

Nous n'avons plus beaucoup de temps avant que notre bon et saint seigneur ne se repeigne de sa folie abyssal et ne nous envois tous soit en enfer, soit sur Skorpionis. Dans les deux cas, je ne donne pas chère de la corruption qui gangrène, premièrement, cette assemblé, puis deuxièment, cette loi qui stipule, encore une fois, que chaque délit, est un ticket pour la planète prison. "

[Une nouvelle fois, il prit une petite pause pour reprendre son souffle, fronçant un peu les sourcils :]

- " CHERE CAMARADE, OU DEVRAIS-JE DIRE SOMBRE IMBECILE.

Vous avez tous, TOUS, prêté allégeance en une paix, DONT VOUS MÊME NE CROYEZ PAS. Vous parlez de paix, de reconstruction, d'équité. . .

ALORS QU'EN CE MOMENT MÊME, UNE FEMME, PRÊTE A BAFOUER SA STATURE SE TIENT DEVANT VOUS, AFIN DE TENTER DE VOUS OUVRIRE LES YEUX.
Et qu'allez vous faire, l'envoyer sur Skorpionis, tout comme les 87% de Danois dans c'te pays ?

[Grégoire dépose doucement les mains à ses hanches, baissant la tête lentement, faisant une nouvelle fois le mariolle, réfléchissant de maniére plus qu'exagérer, amenant la satyre à son discours :]

- " Chère camarade. Nous n'avons plus beaucoup de temps avant que ce ne soit votre tours de passer faire une petite visite à cette fameuse planète, où nombre de cannibale et de tueur en séries vous attendent, prêt à faire de vous leurs repas.
La. . . Solution, de madame Hunji est une solution de tyrannie, pas une solution humaniste. Mais veuillez la pardonner. . . Comprenez bien, chère camarades, que de sa stature, elle ne se doit de ne pas être au courant que cette procédure est déjà en marche ! "

[Grégoire remonte alors doucement vers son trône de bois, attrapant une fois arrivé, le premier dossier que sa secrétaire d'Etat lui a apportée :]

- " Ceci, chère camarades féru de preuve rocambolesque, est la liste de toute les personnes tué aujourd'hui, afin de réduire l'espace dans le prochain voyage qui partiras en fin de mois, vers la prison stellaire.

Igor Grak, jeune de 9 ans, abattu d'une balle en pleine tête pour avoir mendié de l'argent à un noble.
Elizabet Holler, Femme de 38, abattu dans une ruelle par une balle qui appartient à la garde national. Accusé d'avoir donné un pain volé à sa fille. "

[Remontant un instant son nez vers les personnes l'écoutant :]

- " Comment ? La fille ? Bah, morte ce matin par un coup de cross, encore la garde national. "

[L'homme déposa ensuite soigneusement les documents sur une table de député, qui se mit alors à lire, alors que Grégoire redescendit vers la politicienne en se tendant droit devant elle :]

- " Si vous avez d'autre idée aussi miraculeuse que le meurtre de masse, j'connais une époque qui vous conviendrez merveilleusement bien. Nous sommes Danois, une nouvelle génération de fière guerrier arrive petit à petit, nous nous devons de les protéger de cette loi, pas de leurs en effrayer. Si c'est une lois universel qui nous bloque, le seule moyen c'est de la détruire, de s'en débarrasser. Alors mettez vous bien ça dans le crâne, madame Hunjli : C'est de la loi, qu'il faut se débarrasser, pas du peuple "

[Un homme l'interromp donc, sans doute agacé par ce que dis le jeune homme, et d'un ton furieux :]

" Et que comptez vous faire des 87% d'odieux criminel restant sur le territoire ? Notre Dame et notre camarade ici présent nous on bien fait comprendre que la finance n'est pas notre fort actuellement ! "

[ Grégoire répondit alors d'un ton sec, ce tournant vers l'homme l'interrompant pour le regarder droit dans les yeux !]

- " Dans ses 87%, il y a des enfants perdu, des hommes et des femmes qui n'avait pas le choix.

ET CELA REPRESENTE 50% DE SES 87% ! Nous pouvons très bien remettre sur le droit chemin, homme et femme qui possède la détermination nécessaire ainsi que la volonté de revenir sur de la pur citoyenneté ! Les vrais brigands, ou autre meurtrier iront dans ce que nous pouvons appeler du travail forcé.

Et pour ceux qui pense que mon idée est inhumaine. . . Si un jour je prend votre progéniture, pour l'envoyer dans une autre nation juste pour m'avoir mal répondu. . . Ne voudriez-vous pas négocier, pour que les choses ce passe autrement ? "

[C'est alors debout devant son bureau -et sans doute dos à Stella-, que Grégoire souffla une nouvelle fois, levant la tête vers le plafond en s'étirant. Une fois cela fait, ses deux mimines plongea dans ses poches, tournant légèrement la tête une fois tout le charabia de la jeune femme finis. Son corp fit une petite rotation de 180°, dans l'optique de redevenir un chouillat sérieux dans son regard qui plonge une nouvelle fois dans celui de Stella. Sa tonalité vocale prit une toute autre tournure, laissant un petit blanc dans la salle pendant quelque secondes. Une fois cela fait, Grégoire Anakiwi, dit en descendant les escaliers :]

- " 17 Janvier derniers, j'ai demandé la fin de la lois Skorpionis, avec ses mêmes demande et modifications. Rien n'a bougé, ils m'ont tous rit au nez. Je n'ai rien pus dire d'autre, vue que dans l'heure qui suit, je me suis prit un exil politique d'un mois pour tentative envers la nouvelle humanité.

18 Mars derniers, J'ai renforcé mes arguments en venant proposé le fait d'exilé chaque criminelles sur une île, afin de les laissez s'entre-tuer dans le pire des cas, et d'éliminer la minorité restante. Un gain de ressources, d'Energie, d'homme et surtout de place. Les lendemain, chaque îles environnant notre belle patrie fut racheté par la Suède et la nouvelle alliance Anglo-Germanique. On s'est fait des couilles en or comme dirait notre chère député Hîlderg... Mais où est cet argent ?
Tout fut dépensé dans ce que nous avions prévu comme la plus grande avancé technologique de notre temps, de quoi faire beau devant les contrats et les affaires. Au début, c'était un bon compromis pour la fin de la loi tyrannique. . . Pourquoi ? Plus d'argent, signifie sans doute plus de bonheur, la baisse de criminalité car monté de travail, grâce au usines et au emplois qui apparaîtrons !

Eh beh non. . . 4 banquet présidentielle et international. Leurs coups ? Ce qu'on a gagné en vendant deux-trois îles. La seule avancé qu'on a faîte ? 5 kilos en plus et 2 réacteur Sub-atomique à répression ajouté aux nouvelles navettes. "

[Il ce stop un moment, lançant un regard glaçant vers le seule député parmis toute l'assemblé, faisant partis du corp scientifique, revenant ensuite vers la jeune femme :]

- " Le mois derniers, j'ai annoncé le fait de vouloir faire appelle devant la cours d'Ecliesia, afin de reprendre certaines règles de la loi. Comme le fait de mettre un niveau de criminalité, ou alors un seuil d'âge... Mon appelle fut pris en compte. Je suis revenu de ce congrès hier matin, avec comme seule lois qui est passé, le fait de réduire l'effectif dans la navette de une personnes. . . Qui ne prendra jamais forme, vue que c'est la ministre Hongroise, connu pour sa " franchise ", envers son entourage qui souhaite s'en occuper.

Alors, ma chère. . . Oui, je vais faire un nouveau spectacle. Un spectacle des plus grandioses, amenant lumière et feux d'artifice sur ce putain de pays que le Danemark.
Oh que oui j'vais faire un spectacle, seule ou à plusieurs, je n'en ai plus rien à faire maintenant. Continuée de travailler sur de beau orphelinat, sur de beau diaporama. Sur des discours que l'on entend cinq fois par semaine, alors que nous ne somme que Lundi.
Continué de contribuer à une vie plus belle, brayée dans une assemblé de sourd, et boxé donc ses aveugles.

Mais la seule différences, l'infime différence qui fait que nous ne serons jamais sur la échelle d'action, vous et moi. C'est que je possède le temps, et les moyens d'arrèter ce massacre. "

[Ce tournant alors vers les gendarmes aux quatres coins de la pièces, mais aussi vers tout ses congénéres à grandes idées :]

- " Que ce soit par la parole, ou la force... "

[Tournant alors simplement sa tête vers Stella :]

- " Par une autre loi, ou un coup d'Etats, j'arrêterais ce foutu massacre. Avec, ou sans alliés.

Passez une agréable journée, madame, j'ai autre à faire que d'écouter un. . . Spectacle, qui n'a aucun sens, si ce n'est croire que l'on peu faire quelque chose. "

[Ce tournant alors complétement pour lui faire dos, marchant vers la grand porte qui sert d'entrée, comme de sortie, afin de quitter ce lieux et de réellement mettre en marche les actions nécessaire à son plan. N'étant pas encore sortie de la salle ( A mit chemin ), il est encore rattrapable ou stopable]

[Grégoire roula des yeux en entendant " l'ordre " de la jeune femme, poussant donc les portes de la salle de conférence avec force, avant de les laisser claquer dans le sens inverse. Une assez grande colère fut de mise, Grégoire supportant de moins en moins toute cette politique d'emprissonement stellaire, et encore moins l'attitude de toutes ses personnes autour de lui, notamment chaque politicien du corp humanitaire. La jeune femme avait cependant réussis à lui mettre un petit doute.

Était-il le seul à vouloir l'abolition totale et immédiate de cette loi ? Ou était-ce, encore une fois, une tentative de le détourner de la vie politique ?

Allez-t-il devoir tout abandonner pour devoir protéger les personnes sous son ailes, donc quitter sa famille ?

Pour le moment, l'heure est au derniers rendez-vous de Grégoire, avec Stella... Quelque chose qu'il souhaite pour le moment expédier assez vite, au vue des différentes activité et dossiers qu'il a à traiter en rentrant au manoir. Bien-sur, chaque pas effectué était fait d'une lenteur assez remarquable, malgrès le fait qu'il soit attendu... Par une dame qui plus est ! :]

| M- Monsieur, vous êtes sûr de vouloir rencontrer Mme.Hunji ? Elle n'est peut-être pas autant de votre côté qu'elle ne pense dire ! |

- " Iris, qui est réellement de mon côté ? "

| E- Eh bien. . . M- Moi, vôtre f- fam- |

- " Non, Iris, chaque personne que tu énumères n'est qu'une potentielle personne capable de m'exiler, de me tuer ou encore pire, de m'emprisonner au grès de la loi. "

[ Sa secrétaire ce tait un instant, terriblement affligé par ce que venait de dire Grégoire. Il n'était qu'une petite boule de haine actuellement, aucun signe en lui ( aussi bien intérieur ou extérieur ) ne respiré la réfléxion.

Il s'arrêta un instant, regardant devant lui en ayant remarqué que sa secrétaire ne le suivit plus, restant droite dans le couloir en attendant des excuses... Ce qui ne lui ressemblait pas du tout, elle qui était si gentille... Trop gentille :]

- ". . . Démissionée, c'est sans doute la seule et unique solution pour ne plus avoir à supporter mon caractère d'enfant gaté ou de petit con. "
[Il continua alors sa route tandis que la secrétaire baissa la tête, tournant les talons en pensant ce faire virer de son seule et unique travail, lui permettant de faire vivre son fils et sa fille. Grégoire le savait très bien et sortit son téléphone, comfirmant le virement d'une somme assez conséquente sur le compte en banque de la femme, soupirant doucement, prononçant alors les derniers à celle qui la épaulé jusque là :]

- " Prenez soin de vous, et faîte en sorte que vos enfants vivent au mieux, dans ce nouveau monde que je vais battir. "

[ Quelque minutes plus tard, Grégoire souffla doucement, levant la tête pour verifier si c'était belle et bien le bureau de Mme.Stella, toquant à la porte pour l'ouvrir par la suite, rentrant dans la pièce en fermant cette même porte :]

- " Bien. . . Finissons vite cette discussion, je n'ai plus trop de temps devant moi. "

[Croisant doucement les bras, tout en regardant directement dans les yeux la jeune femme devant lui, pas très chaleureux au premier abords.]

[Grégoire, de sa stature des plus sérieuse et droite, n'attendra pas que la jeune femme s'approche d'elle de quelque pas de plus, avant d'entamer à son tours le pas. C'est à la vue d'un pistolet médicale, sans doute financé par la famille concurrente des Anakiwi, que l'homme ce stoppa, fronçant les sourcils en ce préparant à riposter. Malgré les paroles de Stella, Grégoire lui prit le bras d'une manière assez sec et froide, laissant l'explication ce dérouler. Evidement, c'était un quitte ou double :

Soit le pistolet était présent pour euthanasier le jeune politicien, soit il était question d'un plan en adéquation avec chacun.

Le choix fut assez vite pris. Après tout, Grégoire, en ces temps trouble, n'avait pas forcément le temps d'hésiter. C'est en relâchant doucement la pression qu'il ce laissa alors piquer, ne bronchant pas durant le petit instant de douleur. Le regard de l'Anakiwi était sans doute vide pendant un petit moment, mais très vite, il se plongea dans celui de Stella, alors que le produit fit effet sur tout son corp en quelque instant. Ce n'est qu'une fois arrivé à son bureau, et surtout dos à Grégoire, que celui-ci ce mit à avancer doucement, jusqu'à ce trouver qu'à quelque pas de la Stella, venant assainer un assez gros coups de pied dans son dos afin de la pousser fortement, dans l'optique de récupérer le pistolet qui était sensé faire office de preuve contre le politicien. Le brigand regardera l'arme, sortant par la suite un chargeur par sécurité, alimentant par la suite la chambre de l'arme et, enfin, l'armant. Grégoire soupira doucement, s'approchant délicatement vers la jeune femme ce frottant le cou en la regardant :]

- " Merci, maintenant je peux embarquer dans la minute avec mes collègues. Je peux donc me débarasser de vous plus facilement que prévu. Non vraiment, un grand merci à vous. "

[Grégoire sera donc bien en face de la jeune femme, à peine quelque mètre les séparants, rendant le tir beaucoup plus facile et léthale. L'homme ce frotta cependant le cou, soufflant par la suite car, évidement, la douleur est bel et bien présente, il faisait juste semblant, afin que son plan soit à 100% efficace.]

[Une arme en main, une idée précise qui tient à coeur et qui pourrait rendre la vie de ses semblables meilleurs, voir même paradisiaque... Et enfin, une determination dangereuse qui ferais trembler plus d'une personne. L'homme était enfin parvenu à atteindre l'étape une de son plan de renversement sur toute une société, il avait finalement réussi à braver l'interdit in fine, et à briser l'unique règle pénale de ce monde : " Commettre une infraction ". Un sourire ce dessina sur son visage, étirant petit à petit ses douces lèvres encore apeuré par ce qu'il allait comettre et et engendrer, péniblement surpris de ne pas ce rouler dans tout les sens par pur angoisse pu stresse... Grégoire ce sentait, bien ?

Ou alors, c'est ce qu'il souhaitait faire paraître, armant alors lentement le chien et déposant son doigt sur la queue de détente, le faux-tyran laissa tout même flotter un simple petit moment d'hésitation, son sourire ce perdant alors brusquement tandis qu'il tire la quasi totalité de son chargeur autour du corp de la jeune femme, laissant des impactes de balles sur l'intégralité du bureau, mais aussi quelque éraflure sur le corp de Stella. Ré-armant alors avec une seconde salve, ce fou répétera le protocole, mais visant en l'air cette fois, essayant de faire le maximum de bruit, ainsi que de dégats, histoire de rendre la scène crédible au possible. Et ce n'est qu'après un tel vacarne, que l'homme ajouta :]

- " Oups. Semblerait que j'ai loupé. "

[Tirant alors une ultime fois dans le tibia droit de Stella, par pur sang froid, Grégoire jetta l'arme par la suite, soufflant doucement tandis qu'il ce tourne en écartant les bras, prenant une grand sourire :]

- " Aujourd'hui marque la nouvelle Ère d'un monde où nous n'avons plus besoin d'avoir peur d'être imparfait. J'espère que vous appréciez la douceur ma chère, car c'est la dernière, que nous, subirrons. "