| Skorpionis :: Surface de Skorpionis :: Le Volcan Ardent :: Le Pont de Basalte  | L'antre du démon [PV - Yuri Denov] | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Sam 11 Déc - 12:17 | L'antre du démon
Dans cette univers remplis de chaleur, une chaleur aussi étouffante qu'agréable, notre espèce prospère. Vivant caché de ces être que nous considérons comme étant inférieur, l'on se cache dans l'ombre, attendant qu'ils viennent pour se réchauffer, en espérant trouver un abris. Combien 'humain avons nous pu capturer ? A peu près une dizaine, et la moitié sont mort dans la lave, préférant se suicider que de continuer à vivre un véritable enfer... C'est un choix remplis de lâcheté... Mais pour ceux ayant réussi à s'imposer, à obéir, malgré la souffrance, leur traitement, ont été plus humain... Ils sont condamné par nos croyance et le feu que l'on considère comme sacré !
En cette journée, sous la vapeur du souffre, des guerriers sont revenus pour m'informer la présence de deux humains. Un sourire se dessina sur mes lèvres, alors que je voyais déjà deux trophée supplémentaire à mon tableau de chasse. Je me suis levé, tel un roi, puis m'approche de mes sujets qui s'incline avec respect.
« L'arrivé de ses créatures nous ont révélé notre objectif, dévoilant le chemin à suivre ! Capturons ses malotrus et apportons les aux Eksis ! Notre future reste néanmoins incertain, notre monde souffre, nous l'entendons crier depuis la terre ! Ils sont éveillé la créature noire et elle à très faim ! En chasse ! »
Ma voix s'éleva dans les airs, tout en prenant mon arme pour en tailler ma peau et faire couler le sang de mon corps. Une vie pour un peuple, voilà ce que je demande... Mes guerriers, poussèrent des hurlement d'accord, prenant leur affaires et affûtant leurs cornes.
Nous partîmes de notre repère, pour rejoindre le pont de basalte, un endroit que nous apprécions, offrant la possibilité de rejoindre le monde extérieur du volcan. Caché entre les roché, la chaleur y est moins présente, mais reste tout de même dure à supporter pour ceux qui ne sont pas habituer. La parois se craquelant sous la puissance du volcan, qui peu cracher sa colère à tout moment, nous restons là, caché contre la roche sombre. Notre camouflage est parfait, après tout, nous sommes sur notre territoire...
Après avoir tendu un piège, qui se déclenche au niveau du sol, pour attraper notre gibier, après tout, ils ne sont rien de plus que de la viande... Une femelle partis en direction de ses êtres, elle ne se dévoila pas, mais murmura des paroles douce et envoûtante à un homme à la crinière sombre, l'obligeant à s'enfoncer dans le volcan... Le dirigeant vers nous et notre piège...
lumos maxima | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Mar 21 Déc - 22:02 | L'antre du démon Il nous fallut 90 jours pour s'avancer.
90 jours à apprendre à se connaître, dormir l'un après l'autre, suivant le cous du fleuve sans fond. C'était 90 jours de marche pour s'élever.
le 45 eme ont pus apercevoir que effectivement les terres n'étaient pas toute plate, j'avais raison, la fleuve provenait bien d'un coin plus haut. Comme sur terre, l'eau fuit la hauteur d'où il vient. On prit la décision de prendre l'un des bras du fleuve pour commencer l'acensions vers le volcan. La nourriture étaient un peu plus simple à trouver, car chaque jours il y avait plus de rocher où se cachait ses affreux insectes. Enfin ce qui y ressemblait le plus.
Il eu de nombreux tourment sur le voyage et on avait bonne espoir en arrivant au pied du volcan. De la haut on pourrait mieux tout voir. On débuta l'ascension, la chaleur était réconfortante après ses jours de froid près du fleuve. On avançait avec lenteur, ce méfiant des grondements de la terre. quitte à faire des détours pour monter là où la lave étaient le plus éloignés. A file des jours on s'habituait de plus en plus à marcher et grimper sur les roches chaudes, à l'odeur de souffle qu'on fuyait.
Pour passer les nuit on trouvait un peu renfoncement dans la pierre et chacun notre tour on surveillait si la lave ne s'approchait pas de notre endroit. Mais dès la seconde nuit, il eu un problème. Lourdement endormis je n'entendis pas les pas d'Emilio s'éloigner. Ses les rayons lumineux du jours qui me réveilla. A peine les yeux ouvert j'étais alerté, que se passait il ? Où était mon compagnon ? Je pris les affaires qu'il avait laissé. Nous étions sur une planète prison après tout, il devait avoir quelqu'un d'autre sur ce volcan, tout près. Que nous voulait il ? Se nourrir de nous ? nous voler, bien qu'il aurait pus prendre nos sacs mais ils étaient là et au complet de nos trouvailles. Je fis le tours de notre lieu de pause. Je pris une respiration et écouta. Comme pour la chasse, se concentrer sur les détailles qui changent. Quelque chose qu'il attire le regard. Je sondais les alentours, quand j'aperçus entre deux roches, une noirceur, un troue, une grotte ? Je m'avançais tout doucement en sortant un os taillé. J'avais prié pour l'homme ou la femme à qui appartenait cette os, qui maintenant me servait d'arme pour me défendre. La peau tendu, j'entrais à mon tours dans la grotte. En dedans, les sons résonnaient sur les parois rocheuses. Il y avait les craquements et le ronronnement du volcan mais autre chose. Faut dire que 9 mois à vivre sur cette planete aidait beaucoup à aiguiser nos sens.
La voix d'Emilio se fit entendre, c'est alors que je guelais à plein poumon.
-"EMILIO ! REVINS SUR TES PAS, TOUT DE SUITE QU EST CE QUE TU VAS FAIRE DEDANS CA !"
Je n'entendis pas une parole me répondant. Il ne devait pas être seul, il était étrange et dans la lune mais je savais qu'il ne s'enfoncerait pas sur un coup de tête dans l'antre d'un volcan en activité. Quoique après tout, si il avait vus une nouvelle muse.
Je m'avançais prudemment dans le boyau. Parfois des troues dans la roche offrait un peu de lumière et d'air.
Qu'est ce que je faisait, j'hésitais à rebrousser chemin, il était dangereux d'avancer encore sans savoir où j'allais, mais j'entendais toujours des voix dans le lointain et des bruits de pas. J'étais persuadé que Emilio avait suivit un groupe d'Exilée caché dans le volcan pour passé l'hiver. | | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Mer 22 Déc - 21:14 | L'antre du démon
L’humain aux cheveux cendré s’approche, curieux par ce qu’il avait entendu, cette voix si étrange et merveilleuse, l’a attiré… Un sourire peind mes lèvres, alors que nous l’attrapions, puis l’assommons pour pas qu’il crie. Cela serait dommage de perdre notre seconde proie… Disposant le corps de cet étranger, provenant d’ailleurs, nous le mettons en scène, avec à ses côtés une pierre en basalte, comme s’il venait de tomber du voûte supérieur pour l’assommer, un accident bête, mais qui arrive trop souvent…
« Cachez-vous, et tenez-vous prêt à l’attraper ! Vous trois encerclez le, je veux être le dernier visage qu’il verra dans ce monde hostile… »
Mes guerriers hochent la tête en entendant mes ordres, puis nous retournions nous cacher derrière les rochers pour dissimuler notre présence. Les chasseurs sont aux aguets, prêt à emprisonner notre invité du jour. Ils sont si faibles, la planète les affaiblit, car ils sont loin de chez eux, et ne possède aucun instinct de survie… Si pathétique…
Nous attendons avec calme, et nous pouvons rester ainsi plusieurs heures… C’est ce qui fait de nous des prédateurs, peu importe le temps, nous attraperons notre proie… ses pas se rapproche et lorsqu’il fut assez proche, de son ami, mes trois guerriers sortirent de leur cachète, et les deux qui sont resté prêt de moi aussi, encerclant le futur esclave. Je sors à mon tour, poussant un rire si glauque, que les morts seraient terrifiés…
« Ne résiste pas Humain ! Tu es à moi dorénavant ! »
Comment connaissais-je la langue de l’humain ? Eh bien, avec tous nos esclaves, nous avons fini par apprendre leur langage si primitif et si simple…
lumos maxima | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Sam 1 Jan - 13:49 | Tout se qui me revint c'était le grand silence des bruits du volcan.
J'entendais toujours ses bruits, comme des personnes qui marchent plus loin devant moi, bien plus loin. Je pris une minute pour prendre une bonne respiration qui me chauffa le corps. Fallait 'il continuer ? Ou l'abandonner à son triste sort ?
Je repris ma marche car une pierre venait de rouler jusqu'à mes pieds. Je m'abaissais et la prenait dans ma main, elle était longue et étiré, l'un des cotés étaient plus pointus. Je gardais la pierre en reprenant, dans l'obscurité j'aperçus d'abords une masse sombre, noir. Au début je crus que c'était des reflet d'eau sur un rocher qui donnait des reflets, mais plus je m'approchais mieux j'apercevais les détails des vêtements d'Emilio. Il était allongé là, comme tombé. Je souffla, il y avait longtemps que mes compagnons étaient morts. J'allais prendre son poul et me rapprocher de lui pour voir si il était encore en vie quand trois, non quatre personnes sorties de nul part.
Je ne distinguais pas bien leurs tête, mais quelques choses clochaient dans leurs apparence. Je m'accroupie et pris le poul de mon compagnon.
Je sentis sous mes doigts les faibles pulsations du sang remonté le long de son cou.
En vie. Emelio vivait encore. Et a cause de lui on était tout droit dans un piège. Je grognais intérieurement que ce passait 'il ? L'homme à ma droit ricana, l'échos distordait son rire et lui donnait un effet de monstre puissant.
Je gardais bien le contrôle de mes émotions, des gars voulant jouer des caides j'en avait vus, des fous aussi. L'homme prit la parole, sa voix était rauque et avait un drôle d'accent
-« Ne résiste pas Humain ! Tu es à moi dorénavant ! »
Je compris tout de suite que j'étais dans la merde. En face de nous dans la pénombre écrasante un taré voulait que je lui appartienne. Je soufflais fort par le nez et dis calmement.
-"Non, je reprend mon pote et on se casse"
Je pris Emilio par les épaules, il était si leger, je le soulevais sans difficulté. Je tournais le dos au fou et fit un pas vers ses acolyte bien silencieux.
C'est en me rapprochant que je compris que leurs visages n'étaient pas celui d'homme tuméfié par la rude vie, mais des visages qui ne venait pas du berceau de l'humanité. Surpris je me figeais devant eux. Une autre forme de vie, juste devant moi ? Je compris que celui qui parlait n'était pas fou, mais il voulait réellement des humains à son service.
Regle N°11: ne pas rentrer dans un volcan sinon on est dans la muise
Je ne me laissai pas abattre, il fallait sortir et ça le plus calmement, je ne voulais pas me battre, juste partir. Humain ou non il ne fallait pas que ça m'empêche de garder son sang froid. Je dis à l'intention de l'alien devant moi.
-"Ecarte toi un peu, je peux pas passer, j'aimerais bien revoir le ciel" | | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Sam 1 Jan - 20:48 | L'antre du démon
L’esclave pensait vraiment qu’il allait pouvoir sortir d’ici vivant… Quelle triste tragédie… Un rire sorti de nouveau, et chacun de ses hommes de main, usa de leur lien avec le volcan, pour faire un barrage de lave. Je m’approche de lui, en passant à travers la lave, telle est mon lien avec cette dernière, par le biais de mon espèce et de mon clan.
« Tu es faible, et lui aussi, penses-tu pouvoir te mesurer à nous ? Tu ne seras pas le premier, ni le dernier. Accepte, avant que la vie ne te quitte, nous ne te tuerons pas, si telle est ta question. Nous sommes des êtres d’honneur, j’ai d’autres projets pour vous… »
La femelle fit une brèche dans la lave, pour montrer le chemin qu’il devait suivre, elle le regarda de haut en bas, comme intéressée par sa personne. Ce ne sera pas le premier humain avec qui elle copule, et pas le dernier, mais elle-même qui est bien plus grande que l’homme se sent encore plus supérieur.
« Tu es si craquant Humain, ton ami qui chante à une belle voix, il divertira nos arènes. »
Elle lui griffa le visage, sans le faire saigner, et le laissa passer s’il le souhaitait pour aller dans le clan et sa future prison.
lumos maxima | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Jeu 20 Jan - 19:58 | Je fus entourer de lave, c'était tellement chaud que je sentis les poils de ma barbe et de mes cheveux fondre légèrement. Ca sentait le cochon grillé. Le chef passa à travers la lave et je pus m'empêcher d'être surpris, La vache ça c'était pratique pour vivre ici ! Il s'approcha et je pus sentir son odeur de souffre et de cendre.
-« Tu es faible, et lui aussi, penses-tu pouvoir te mesurer à nous ? Tu ne seras pas le premier, ni le dernier. Accepte, avant que la vie ne te quitte, nous ne te tuerons pas, si telle est ta question. Nous sommes des êtres d’honneur, j’ai d’autres projets pour vous… »
Je plantais mon regard dans le sien, le visage fermé à la peur. D'apparence, car je me doutais bien que si je continuais à vouloir fuir, Emelio et moi finiront la tête dans la lave et je n'avais pas trop envie de gouter à la confiture interdite.
Je ne lui répondis rien, il ne méritait pas un mot.
Je me tournais vers la brèche faite par un autre alien. Sa voix était plus aigus. Elle aussi parlait l'humain et je souris à sa remarque. Elle posa son doigt où plutôt sa griffe grise sur ma joue et fis un mouvement vif. Je soufflais d'agacement plus que de peur.
Je n'avais jamais apprécier qu'on s'en prenne au autre, et encore moins qu'on essaye de m'intimider. Celà avait le dont de me blaser plutôt qu'autre chose, garder son sang froid était important pour ne pas s'emporter et finir au tapis. Bien qu'elle était plus grande je figeais mon regard dans le sien.
-"Sa lui ferra plaisir un public à Emilio"
Je poursuivis ma route au délà de la porte de lave. Il y faisait encore plus chaud, je soufflais pas mal au début à cause de la chaleur qui envahissait mes poumons. Derrière j'aperçus Emelio trainer par deux aliens.
Je dis avec une voix forte qui fis sursauter un alien non loin qui regardait notre arriver dans les corridors du clan.
-"ON NOMME VOTRE PEUBLE COMMENT ? ALIEN OU CONNARD C EST PAS SUPER."
Si le chef ou l'autre alien connaissaient l'insulte j'allais surement me prendre quelques couts. J'haussais les épaules, j'étais très énerver envers Emilio et ses nouveaux acolytes. Même sur une autre planète je pouvais pas être tranquille. Moi qui voulais mon chalait en foret, de quoi sculpter le bois et un homme qui me fait de bon petit plat. J'y étais si loin. Je soufflai à nouveau. | | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Lun 24 Jan - 14:28 | Ces humains sont si impolis… Mais le prisonnier était un simple d’esprit, préférant la vie à la mort, une chose logique, mais que notre peuple ne comprend pas vraiment… Nous préférions mourir dans le combat que dans l’esclavage… Puis le simple d’esprit commença à gueuler, l’un d’entre eux s’arrêta, pour rejoindre la prison, près à lui planter une épée dans le gosier, mais j’interviens, a temps, en le prenant par l’épaule, pour le faire reculer.
« Retourne à ta place, je ne t’ai pas autorisé à bouger ! »
Lançant un regard sévère à l’individu, avant de prendre ma place à côté du prisonnier. Un petit rire s’échappe avant que je ne prenne la parole.
« Écoute moi bien humain. Tu n’es pas chez toi ici, en venant, vous et vos machines, vous nous avez défier. Si tu voulais des êtres sympathiques, vous auriez dû changer de cap ! Donc mesure tes paroles, lorsque nous ne connaissons pas le peuple d’une planète, l’on fait attention ! Au risque de finir brûler vif… »
Lui donnant une tape dans le dos, légèrement forte, pour montrer la force de notre peuple, sans pour autant répondre à sa question, chose qui été voulu. Nous rejoignons, l’antre du volcan, un chemin digne d’un labyrinthe, avant que nous entrions dans la cité de mon peuple. Le prisonnier fût amené dans une cage avec d’autre homme humain, ne désirant pas mélanger les deux sexes opposés dans leur prison. Le chanteur fut mis à part, en direction de l’arène, pour son futur récital.
Quant à moi, je me pose sur mon trône, surplombant la cité, et observa le paysage magnifique, une journée comme les autres…
La lave est présente partout autour, est des cris de créature sauvage sont audible, raisonnant presque dans la structure. La femelle resta proche des cages, nourrissant les esclaves capturés. | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Mer 2 Fév - 13:32 | J'entendis gronder la voix du chef derrière moi.
« Retourne à ta place, je ne t’ai pas autorisé à bouger ! »
Il comprenait même les insultes.
La chaleur étouffante m'arrachait une grimasse constante. Un rictus qui trahissait mon expression corporel qui se voulait décontracté. Il faillait bien me connaitre pour savoir que cette lèvre un peu levé, remontant mon nez n'était pas un trait habituel sur mon visage qui ne souriait plus. J'écoutais le chef avec plus d'attention au fur et à mesure qu'on s'engouffrait dans l'enfer des hommes.
« Écoute moi bien humain. Tu n’es pas chez toi ici, en venant, vous et vos machines, vous nous avez défier. Si tu voulais des êtres sympathiques, vous auriez dû changer de cap ! Donc mesure tes paroles, lorsque nous ne connaissons pas le peuple d’une planète, l’on fait attention ! Au risque de finir brûler vif… »
Je sentis le chef taper mon dos, comme le faisait souvent mon père. Je ne fis rien pressentant que si je m'arrête de marcher on allait me remettre sur pied plus violement que prévus. J'eu l'impression de prendre des détours et qu'on rebroussait chemins souvent. Parfois je manquais de trébucher sur un caillou détaché de la parole et je sentais qu'il brulait en son intérieur. Comme un œuf de dragon dans les contes anciens du monde.
Je fut mis dans une cage et en arrivant j'eu un petit rire. Je dis très bas, pour moi même.
"Même chez les aliens, les prisons sont des cages, presque amusant".
Un homme à coté de moi me fusilla du regard pour avoir dit ça. Je plantais les yeux dans les siens et attendus qu'il les baisse. Il n'était pas question qu'on me marche sur les pieds, surtout pas après une journée de merde comme ça. Emilio avait été prit. Je l'imaginais déjà chanter au cœur de la ville, attaché à une colonne de roche.
Je me retrounais et cherchais du regard le chef, mais il avait disparut plus loin, bien plus loin. Il n'y avait que la femelle qui restait devant les nombreuses cages d'humain.
Nous qui étions en prison grandeur nature, nous revoilà dans un espace étriqué. Je repensais au dire du chef et interpelais la femelle qui donnait une bouillit maronné à la cage en face de nous. Au moins on avait de quoi manger !
"Hey toi, la fine et forte ! dis moi qu'est ce qu'on vous à dit sur l'arrivé des hommes ici ? "
Autant être enfermé autant en profiter pour en apprendre d'avantage sur cette terre. Les autres hommes derrières semblaient agacé et contrarier, je ne fis pas plus attention à leur mécontentements, certain avait tout à fait leur place ici en enfer.
J'attendis sa réponse en scrutant les alentour, beaucoup de mur et de colonne de roche grisâtre, éclairer par la lueur rougeâtre de la lave qui coulait contre les parois. Cela aurait pus être beau, si la chaleur ne rendait pas fou. Moi qui venait du grand froid, j'étais bien servis ici.
| | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Lun 7 Fév - 18:43 | L’humain semblait avoir compris, j’observais l’arène qui était en pleine préparation. Un digne jeu allait être servi, et les prisonniers en sont le divertissement principal, bien évidemment. Mais nous ne sommes pas des brutes… Ils l’apprendront d’eux même…
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La femelle qui fut interpellé par le dernier capturé, s’approche après avoir donné une gamelle à une femelle. Elle esquisse un sourire, ses dents pointues et son haleine de fauve ressort rapidement, mais cela ne la dérange pas, après tout, c’est son monde, son univers. Elle pose un bras sur la cage faite d’os d’animaux et d’humain, et même des membres de sa propre espèce, mort depuis longtemps.
« Nous avons un curieux, j’aime bien les curieux. Tu es mignon, je vais te garder, tu verras, on n’est pas si terrible, tu sais… »
Elle marque une pause, avant, de s’asseoir, elle aurait voulu ouvrir la cage pour se promener avec son futur esclave, mais elle tenait bien trop à la vie pour le faire, alors elle resta assise, pour discuter.
« Assis toi humain. Je m’appelle Ygona, et j’ai vu le ciel s’enflammer lors de votre toute première arrivée. Notre roi, est sorti, il a affronté la neige et le blizzard avec nous. Les étoiles n’ont plus brillé durant un certain temps, tellement la chose brûlait, et chanter un son horrible dans le ciel. Il y a de ça plusieurs saisons volcaniques. Mais nous n’avions pas peur, et nous étions prêts à combattre pour défendre notre terre, sauf que les Lanpai, voulait apporter la paix. Mais vous nous aviez défiées ! »
Elle frappa le sol de toutes ses forces, pour montrer sa colère, avant de reprendre la parole, pour continuer son récit.
« Oui… Vous l’avez éveillé, et tuer plusieurs de nos Scnerai, ils n’ont pas été en mesure de l’apaiser, et elles sont sorti de terre. Même les plus grands Scnerai Lanpai ont péri, vidés de leur propre sang, pour tenter de calmer notre mère à tous. Alors, nous avons décidé la voix de la guerre, en vous sacrifiant, nous espérons apaiser, la grande mère. Vous avez commencé, et vous vous êtes condamnés. Mais après, plus rien… Le ciel a cessé de gronder, mais elle resta éveillée, prête à se rendormir, paisiblement durant plusieurs saisons volcaniques… Sauf que vous êtes revenu après, et la fois suivante encore… On pense, que cela sera terminé, mais vous avez décidé d’envahir notre monde… Même si Lanpai, cherche la diplomatie, notre roi souhaite rendre visite aux Eksis, pour être dirigé sur nos choix futurs. »
La femelle se redresse, elle ne veut pas de la pitié de l’humain, et montre sa fouge, en martelant le sol avec son arme barbare, pour faire gronder le volcan. | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Mar 8 Fév - 13:17 | Après que la femelle me conta leur histoire, je la laissais se défouler avec le marteau à lame noirâtre. Plus elle tapait plus je sentais sous mes pieds le sol craquer, j'eu peur qu'une brèche s'ouvre et de me retrouver happé par la lave. Les autres me foudroyaient du regard. Personnes ici n'avaient chercher à comprendre les autres, encore moins de parler pacifiquement. Les autres prisonniers semblaient tous en colères, près à tuer, d'autre était recroquevillé. J'avais de la peine pour eux. Peux être qu'il n'y avait que moi qui était heureux de pouvoir parler à quelqu'un d'autre que Emelio depuis un moment, et de comprend l'histoire derrière la mienne. Les Lanpais, les Scnerai et les Eksis, voilà trois nom qui me disaient rien. Nous devions les appeler autrement. Un présentiment, m'indiquait que les fleurs du mal étaient plus doué de conscience que ce qu'on le pensait. je supposait Les Scnerais d'être les fleurs, mais alors les lanpais qu'est ce que c'était ? Les eksis semblaient être un autre peuple. Je réfléchis, ou peux être que c'était les pères des Aliens. Les lanpais voulait la paix, qu'est ce que cela pouvait bien être. Je m'assis par terre et dis assez fort entre deux coups de marteau qui me faisait frissoner.
-On verra si vous êtes si terrible ou non, je n'ais pas d'avis pour le moment. A près tout j'étais déjà prisonnier d'ici, jusque là j'ai moins d'espace et plus de regard noir. J'eu un petit rire, très sincère. Tous les Humains ici sont des prisonniers de la Terre envoyer pour être punis. Certain le sont pour des raisons graves, d'autre pour pas grave chose. En arrivant les prisonniers comme moi, personne ne se doutait que les fleurs pouvaient être doué de conscience, encore moins que vous étiez présent. Encore une chose caché par le gouvernement pour être sûr qu'on arrive
jamais à la cité pour nous sauver.
Derrière moi il eu un rire, un petit vieux au cheveux blanc et couvert de cicatrice.
-Parce que tu y crois au moyen de rentrer sur terre toi ? Il y a une cité oui, mais jamais on rentrera ! SURTOUT PAS AVEC SES MONSTRES
La voix de l'homme avait monté jusqu'à hurler. Il ne restait que le silence. Il devrait faire attention à ses paroles. J'eu un énième frissons, car si il se permettait un tel affronts, soit il savait ce qu'il allait se passer, soit il était assez fou ou fort pour rester en vie. J'avais beau être plus grand que lui, j'étais heureux d'être assez loin du vieux. | | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Mer 9 Fév - 11:32 | La femelle après un certain acharnement s'arrêta en entend l'humain parler. Comme tout conquérant, le mensonge est une chose que l'on maîtrise, peut-être dit-il la vérité, peut-être pas, la femelle s'en moque, elle ne croit qu’en son roi après tout... ---
Après plusieurs minutes, probablement une heure, je descends de mon perchoir, pour rejoindre mon peuple, allant vers les prisonniers. Je m'arrête face à la cage, et la femelle, s'inclina en me voyant arriver, puis elle s'approcha, pour me donner un résumé de lors conversation. Elle m'annonça aussi, que le nouveau était plus curieux que les autres, et cela m'interpella... Arrivant, vers la cage, je l'ouvre, et fait signe à l'humain de sortir. « Viens avec moi Conteur. » Faisant signe à mes guerriers, pour préparer l'arène, avec les prisonniers, je voulais que l'esclave, continue de parler. Nous avons beau être des brutes, les Eksis, seront en mesure de me répondre pour mon nouveau projet de vie ave cette chose rose. Alors que nous traversions les plates-forme, se trouvant dessus la lave, je nous conduis, jusqu'à l'arène, et m'installe à ma place de commandant. « Assis toi Conteur. Tu es le premier à nous parler, le premier à ne pas avoir peur. Nous aimons les braves, et nous les respectons. Tous ceux qui sorte digne de l'arène, peuvent vivre dans mon royaume, de manière moins médiocre. Es-tu braves Conteur ? » Mon regard se pose sur cet être rose, que le ciel avait envoyé sur notre planète pour une raison qui nous était jusqu'à présent inconnu. « Tu es donc un pariât de ton univers. Ici, tu as une nouvelle chance de vivre, une vraie vie. Nous savons, qu'il est possible, pour vous, de devenir comme nous, de vous changer, mais cela n'a encore jamais été fait. » C'est un honneur que je lui donne, les Eksis, n'ont jamais dit que c'était impossible, mais avec la technologie Skaduwee, nous serons en mesure de les rendre comme nous, et de créer une sous-espèce de nous... | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Dim 20 Fév - 18:09 | L'alien m'écouta. Je fut étonné qu'elle semble si enclin à le faire. On discuta légèrement, sans pincette puisque après tout j'étais déjà prisonnier et mort de chaud. Après une heure, le chef réapparut. la femelle s'abaissa à lui. Je m'éloignais un peu de la porte quand elle s'ouvrit. Je suivis le chef, un peu perdu dans toute les allés que nous prenions. Sur le chemins on croisait beaucoup de monde. Personne ne me hua ou me jetais des choses, cela devais être grâce au chef à mes cotés.
"Vous savez que plus on s'enfonce dans vos galeries, plus la chaleur augmente. C'est de moins en moins facile de vous suivre. Bon vous allez dire que c'est bien fait. Tout les humains ici sont des rebus. Tous se sont fait tromper en croyant arriver sur une planète vide. Maintenant vous avez un bon nombre des prisonniers de la terre."
On passa au dessus de la lave, et je m'arrêtais de parler. L'air chaud me brulait et je préférais garder ma salive pour humidifier ma gorge. Le chef s'installa, on avait vue en contre bas sur une grande arène, comme celle des anciens temps de la terre. Les voutes de pierres abritait des portes ou des tribunes où il y avait déjà pas mal d'aliens qui grouillaient.
« Assis toi Conteur. Tu es le premier à nous parler, le premier à ne pas avoir peur. Nous aimons les braves, et nous les respectons. Tous ceux qui sorte digne de l'arène, peuvent vivre dans mon royaume, de manière moins médiocre. Es-tu braves Conteur ? »
Ma tête tournais pas mal, il faisait si chaud près de l'arène. Moi qui était habituer à la fraicheur des terres de la surface, je suais.
« Tu es donc un pariât de ton univers. Ici, tu as une nouvelle chance de vivre, une vraie vie. Nous savons, qu'il est possible, pour vous, de devenir comme nous, de vous changer, mais cela n'a encore jamais été fait. »
Je plissais les yeux, et soutint le regard du chef. La chaleur devait me monter à la tête car je ne comprenais pas, vouloir changer, devenir comme eux ? Je ne comprenais presque rien. Je lui répondis juste calmement.
"Je n'aime pas combattre, je me défend seulement. Si un combat à mort m'attend, je crois ne pas pouvoir le réussir, il fait si chaud. Et puis je n'étais pas un pariât, j'étais un amoureux."
Je regardais en bas, il y avait de plus en plus de monde dans les tribunes. Des chants se lançaient parfois, incompréhensible. Une ambiance survolté, ils attendaient les combats de l'arène. Peux être que j'allais devoir combattre moi aussi. j'espérais au moins qu'il fasse plus frais en bas, pour avoir au moins une chance. Juste une chance de vivre, et de protéger Emilio. Je le cherchais du regard autour de moi.
"Où est mon compagnon, ne devait 'il pas chanter ? " | | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Mar 22 Fév - 18:36 | L’humain était assoiffé, il craignait la chaleur, comme certains. Il devait apprécier le froid comme les Lanpai… Etant un peuple de lave, nous n’avons pas d’eau à lui offrir, mais je fis un signe pour qu’une femme esclave s’approche, elle n’était pas battue, et n’y même attaché, elle vivait parmi nous, mais appartenait à quelqu’un, elle ne sembla pas non plus avoir envie de fuir de l’endroit. Elle c’était habituée à la chaleur, et ayant quelques humains esclaves dignes de confiance, ils ont du récolter de l’eau pour ne pas les voir mourir rapidement.
La jeune femme apporta de l’eau en peu de temps, assez pour qu’il ne meurt pas et resta assis à côté de celui que je nomme Conteur.
« Ton ami est en bas Conteur, regarde, il va arriver. »
Les cris deviennent plus forts dans le contre-bas, ils se lèvent en brandissant leur poing dans les airs. Quelques esclaves arrivent sur le terrain, menées par l’ami de l’esclave, qui se mit à chanter, durant l’entrée des gladiateurs humain, ceux désirant se frayer un chemin dans notre cité. Les plus valeureux vivront parmi nous, sous un maître, et pourront s’il le désire retourner à l’arène.
« Nous recrutons notre armée Conteur… Les humains ne sont pas d’ici, notre terre les repousses, mais bientôt des mères pourront leur offrir une nouvelle vie, en les changeant comme nous. Nous demanderons aux anciens de ce monde de leur offrir ce pouvoir. Regarde Conteur, beaucoup ont accepté, beaucoup vivent parmi nous, et certain désire ne faire qu’un avec cette planète… Ensemble, nous repousserons ceux qui sont venus du ciel… Notre monde n’est pas à prendre… »
Les premiers gladiateurs se mirent à se battre, sous la voix des Huobang, et certains guerriers montèrent dans l’arène pour superviser. Ici, le sang est maître mot et la mort prévisible, mais pas obligatoire… | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Jeu 3 Mar - 19:36 | Une femme, humaine me donna de l'eau. Je lui avait presque arracher le bol des mains.
-Merci
Je bus d'une traite en fermant les yeux, cela était vraiment délicieux. D'un coup la fraicheur de dehors et de la rivière m'était devenu très lointain. Pendant que je buvais le chef m'indiquait qu'emilio était en bas. Je me redressais pour m'approcher du bords, pas de barrière pour se retenir et tomber dans la foule des gradins. Emelio chantait, lui aussi était en sueur, son regard était perdu dans le vide. Derrière lui d'autre humain étaient là, on leur retirait leurs fers. La foule hurlait de plus belle, c'était un vrais spectacle comme celui des vidéos des anciens temps sur terre.
Le chef repris la parole, il se créait une armée, mais contre qui ? Contre les prisoniers enfermer sur cette planète, ou contre la terre même.
-Vous compter nous transformer ? Et une fois transformer, vous voulez qu'on se batte contre notre terre natal pour protéger la votre ?
En bas, le calme revint. On entendis avec fracas les grognements des combattant. Haletant, couvert de sang et de poussière. Je regardais la femme qui m'avait servit de l'eau
-Elle, elle a choisis de vous servir ? Elle va être transformer ?
La femme rougit, et s'éloignait.
-Le combat fait rage en bas, le gagnant aura sa place parmi vous ? Il sera transformer, et se battra contre les hommes du port spacial ? Car à part homme tout les hommes sur cette planète sont des prisonniers qu'on a obliger à vivre ici comme punition. S'en prendre au prisonnier n'est donc pas une solution, il faudrait anéantir le port si vous voulez que les hommes arrêtent de venir. Cependant celà condamnera tout les prisonniers. Il y aura plus aucun moyen de partir, plus de navette, même si on trouve la cité pour rentrer.
Je fis quelques pas à nouveau, au bord du vide. J'observait le combat. Un homme se tenait l'oeil qui ressortait de l'orbite. C'est avec rage que la femme lui frappait le crâne. On entendait distinctement ses cris du fureur, elle avait la rage de vivre. L'homme tomba, la femme se relevait. Couverte de sang, les vêtement en lambeau, on apercevait les hématomes partout sur son corps. Elle se tournait vers moi, non vers le chef derrière moi. D'un air de défis elle hurlait à plein poumon. Cette femme aimait le goût du sang, cela se voyait à ses yeux, à son sourire déformer par sa lèvre fendu.
-Cette femme est une tueuse, ça lui plait d'être là en bas. Qu'aller vous faire mon cher ?
| | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Dim 20 Mar - 22:28 | Beaucoup de question tourne dans sa tête. Tant d’interrogation… C’est si rare, et pourtant, le savoir mène au pouvoir… C’est pourquoi, je me dois de contrôler l’information pour gérer le peuple. J’observe en silence, j’attends, puis prend finalement la parole pour répondre à quelques-unes de ses questions.
« Pour survivre tout le monde est prêt à faire n’importe quoi. Je leur offre une possibilité de survivre dans se monde, d’affronter les plus grands dangers, sans avoir peur de finir dévorer. D’être dans un clan, et de vivre selon nos coutumes et nos lois. Tu y vois peut-être de la manipulation, mais laisse ton esprit aller plus loin, que tout soit au-delà. En partageant notre sang, vous n’êtes plus humain… Il est impossible de rentrer chez vous, c’est un fait. Nous protégerons notre ciel, car nous sommes les seuls assez puissant pour le faire… Nous nous considérons comme gardien de notre terre. Vous nous volez, et ceci est impardonnable… »
Le spectacle se termine finalement, et le chanteur sort finalement de l’arène pour qu’il rejoigne son ami après avoir bu une quantité monstre d’eau. Je me lève à mon tour, me rendant dans mon palais en faisant signe au Conteur de me suivre avec le Chanteur. La jeune femme nous suit aussi, elle reste près de sa maîtresse, et de son maître.
Je demande à ce que la guerrière humaine soit mené à mon trône de cendre. Alors que je m’y installe, la femme arrive, recouverte de sang et son regard aussi sombre que le néant. Elle s’incline finalement, le désire de pouvoir, ou alors l’envie d’avoir une famille, la pousse peut-être dans ses retranchements.
« Mon enfant, désires-tu te joindre à nous ? Désires-tu devenir une Huobang et de servir et protéger notre royaume ? »
Je n’ai pas encore trouvé le moyen, mais je sais que ce sera possible. Si elle accepte, elle intégrera dans un premier temps les Mères, pour apprendre notre langue et notre culture, mais tout deviendra plus clair, lorsque sa génétique sera modifié pour être comme la nôtre… | | | Yuri Denov Exilé de Skorpionis 24 ans Date de naissance du personnage : Né le : 15/11/2991 Messages : 51 Mer 20 Avr - 19:41 | Accepter, c'était en plus de perdre son humanité cela incluait de de enlever le choix au autre homme prisonnier ici. Je me murais dans le silence. Bien que Emelio me rejoins. J'étais devenu bien plus fermé. Observant de loin, restant dans les ombres des parois chaude, voir brulante.
Me menaçait il lorsqu'il disait que le vole de sa planète était impardonnable. Parlait 'il de l'humanité ou de ma personne. J'essayer d'analyser la situation. J'étais en danger c'était certain, comme depuis mon arriver ici vous me diriez, mais l'étais-je plus en ce moment ?
Il fit monter la femme. Une aura immonde. Emelio chantonna quelque chose dans sa barbe, je n'y prêtais pas attention. Le regard fixe sur la femme qui passait. Elle sentait la transpiration et le sang. Elle me dévisageait avec un sourire en coin. Je ne baissais pas les yeux. Qu'essayait 'elle de me dire cette tueuse. C'est son regard qui me rappelait qu'ici bas on arrivait pas que par bêtise. Je m'avançais pour me reveler un peu de l'ombre. Je la surplombais bien, et encore plus lorsqu'elle s'inclina vers le chef des Huobang ?
Elle accepta et fut emmener par des gardes. Elle disparut petit à petit. Je me tournais vers Emelio
-"Emelio, je ne veux pas que tu interviennes, celà est mon choix"
Je cherchais du regard le chef.
-"Je ne me ferais pas transformer, je veux bien apprendre bien que je ne sois pas un bon élève de nature. Je suis doué pour construire. Je suis reconnaissant de votre proposition pour tout mon peuple. mais me concernant j'espère que mon corps s'habituera à cette vie, si il n'y arrive pas on verra à se moment. Et puis, je ne suis pas encore libre à ce que j'ai compris. Vous nous faîte combattre là bas, dans l'arène où Emelio à divertis votre peuple. Je n'apprécie pas le combat, pas comme elle." Je donnais un coup de bouc en la direction où était partit la femme ensanglanté " Je peux vous être utile j'en suis certain, non pour le combat mais pour bâtir, pour proposer aux hommes votre proposition. Ils auront plus facilement confiance en une apparence qui leur ressemble. Dîtes moi se que vous compter faire de nous, Emelio et moi. Dîtes moi pour les prisonniers de vos cages et ceux dehors. Je pourrais être un médiateur de votre mission."
Je retournais ma veste ? Peux être. Mon but était de rejoindre la montagne au loin pour trouver une cité où trouver de l'aide pour retourner sur terre. Cette terre qui me manquait. La fraicheur du printemps et sa beauté. Mais si je disais là maintenant que je prèfère repartir, j'allais juste être enfermé et mon périple s'arrêterait sur un esclavagisme. Il fallait voir plus loin. Et pour ça j'avais rassembler tout mon sang froid et mon mental. La vie m'avait forgé pour éviter les conflits, je la remerciait intérieurement. | | | Age du personnage : 70 ans Date de naissance du personnage : 05/10/2946 Messages : 34 Mer 17 Aoû - 13:38 | L'antre du démon
Une nouvelle sœur allait voir le jour, j’en était fier, très fier même. Elle fut guidée par mes soldats vers sa cage, en attendant que je trouve le moyen de la convertir, de transformer son sang au nôtre. C’est après son départ que l’esclave décide de s’exprimer. Sans vouloir rejoindre mon royaume et mon sang… Je m’installe, comme un monarque, écoute et réfléchis brièvement. Nous ne sommes pas des bâtisseurs, mais des guerriers…
« Tu souhaites faire partie de notre communauté, sans porter notre sang ? Un bâtisseur, dis-tu ? »
Cela méritait tout de même réflexion, nous sommes bon dans l’art de la guerre, mais tout le reste est étranger à nos yeux, et cela nous affaiblis… Un mauvais sourire se dessine sur mon visage, peut-être qu’on pourrait faire un essai…
« Ce que nous désirons et de recouvrer notre terre sans que vous ne veniez la polluer. Tu peux rester et avoir des bâtisseurs pour nous, vous resterez esclave et surveillé, mais libre de marcher parmi nous. En revanche, la confiance se gagne, si tu es digne, je le serais aussi… Si tu me déçois, ta tête roulera dans l’arène… »
Ma seule offre, s’il accepte, alors il gardera un peu de liberté, s’il refuse, il restera un esclave dans une cage avec les autres. Je dois m’adapter à l’évolution, et si une guerre se prépare, je pense que nous aurions besoin de construction pour affronter les visages blancs. Ils nous aideront là où nous sommes mauvais, la communication… Un piège, pour mieux les écraser…
Ici, je suis roi, et bientôt, ils découvriront ce que nous représentons sur cette planète, elle respire est vie… Elle est notre mère toute-puissante…
Prenant une large dague pour me couper la paume de ma main, laissant le sang couler dans un récipient qu’on m’apporte, je tends ce dernier à l’esclave pour qu’il fasse de même et que nous scellions notre accord.
« Ton futur se joue ici Bâtisseur… »
lumos maxima | | | | | | |
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